Dans le monde complexe de la fiscalité, il est essentiel de prendre des décisions éclairées pour optimiser sa situation financière. Alors que la date limite du 7 juillet 2024 approche à grands pas, trois choix cruciaux en matière d’impôts s’imposent à vous. Ces décisions peuvent avoir un impact significatif sur votre avenir financier. Cet article vise à vous guider à travers ces choix délicats, en fournissant des informations claires et concises pour vous aider à naviguer dans les méandres de la fiscalité. Préparez-vous à découvrir les trois choix cruciaux sur les impôts à faire avant le 7 juillet 2024.
Agir face à l’instabilité politique et fiscale avant les législatives de 2024
En raison de l’incertitude politique et fiscale actuelle, il est impératif pour les contribuables d’agir rapidement avant le second tour des élections législatives prévu le 7 juillet 2024. Les fluctuations potentielles de la fiscalité pourraient avoir un impact significatif sur divers aspects financiers tels que les PER, les dividendes, les plus-values boursières et les successions. Il est donc crucial de ne pas immobiliser son argent dans des placements dont la taxation future reste incertaine, notamment en ce qui concerne le plan d’épargne retraite (PER).
Prudence fiscale recommandée pour les placements à long terme et opérations boursières
Il est déconseillé de bloquer son capital dans des investissements à long terme comme le PER, dont la fiscalité future reste imprévisible. Les conditions de déduction fiscale des versements 2024 sur un PER pourraient être modifiées par une loi de finances rectificative ou la loi de finances pour 2025. De même, avant de vendre des actions ou de percevoir un dividende exceptionnel, il est recommandé d’exercer une prudence fiscale. En effet, l’impôt sur ces transactions boursières pourrait augmenter rétroactivement.
Optimiser la succession en profitant des allègements fiscaux existants
Face à une possible révision de la fiscalité sur l’héritage, il est judicieux d’exploiter les dispositifs actuels qui permettent d’alléger les droits de succession. Parmi ceux-ci, on compte la prise en charge des frais de donation par le bénéficiaire et l’effacement des plus-values latentes lors de la transmission de comptes-titres ou de biens immobiliers. Si vous anticipez une suppression du régime fiscal des donations hors impôts, n’hésitez pas à consulter rapidement votre notaire. Il est important de rappeler qu’en matière de fiscalité, aucune déduction, réduction ou exonération n’est garantie à long terme.